Le mot du Curé : C’est avec joie que nous avançons à la rencontre du Seigneur qui vient, qui vient pour nous sauver ! Cet Homme monté sur un âne avançant au milieu des acclamations, des “Hosanna“, des “Gloire à Dieu au plus haut des Cieux“, c’est le Dieu éternel et tout-puissant, qui révèle sa colère et sa force en pardonnant. Entrons dans cette Semaine Sainte par la contemplation d’une réalité et d’un Mystère. La réalité, c’est notre péché. Pas celui des autres ! Si Bossuet pourra dire plus tard que le Christ sur la Croix versa jusqu’à la dernière goutte de son Sang pour le rachat de mes péchés, c’est bien parce qu’ils sont cause de la Passion et de la Croix. La contemplation de cette réalité attire notre regard vers le Mystère de l’Incarnation en vue de notre rédemption. Abîme insondable de miséricorde et d’amour qui efface la sévérité de la justice par la tendre douceur du pardon ! Chaque jour de la semaine, nous pouvons choisir de penser à mille futilités, nous contentant de prévoir un déjeuner de Pâques plus ou moins “covidisé“. Mais nous pouvons entrer avec le Seigneur en méditant les quatre récits de Passion pour nous unir spirituellement à ses souffrances. Nous pouvons aussi offrir quelques sacrifices ou épreuves qui nous uniront physiquement à tout ce que le Seigneur va souffrir pour nous. C’est de notre vie éternelle qu’il s’agit ! Participer à la mise en œuvre de notre salut nous fera entrer dans la joie de Pâques !Le mot du Curé :
C’est avec joie que nous avançons à la rencontre du Seigneur qui vient, qui vient pour nous sauver ! Cet Homme monté sur un âne avançant au milieu des acclamations, des “Hosanna“, des “Gloire à Dieu au plus haut des Cieux“, c’est le Dieu éternel et tout-puissant, qui révèle sa colère et sa force en pardonnant. Entrons dans cette Semaine Sainte par la contemplation d’une réalité et d’un Mystère. La réalité, c’est notre péché. Pas celui des autres ! Si Bossuet pourra dire plus tard que le Christ sur la Croix versa jusqu’à la dernière goutte de son Sang pour le rachat de mes péchés, c’est bien parce qu’ils sont cause de la Passion et de la Croix. La contemplation de cette réalité attire notre regard vers le Mystère de l’Incarnation en vue de notre rédemption. Abîme insondable de miséricorde et d’amour qui efface la sévérité de la justice par la tendre douceur du pardon ! Chaque jour de la semaine, nous pouvons choisir de penser à mille futilités, nous contentant de prévoir un déjeuner de Pâques plus ou moins “covidisé“. Mais nous pouvons entrer avec le Seigneur en méditant les quatre récits de Passion pour nous unir spirituellement à ses souffrances. Nous pouvons aussi offrir quelques sacrifices ou épreuves qui nous uniront physiquement à tout ce que le Seigneur va souffrir pour nous. C’est de notre vie éternelle qu’il s’agit ! Participer à la mise en œuvre de notre salut nous fera entrer dans la joie de Pâques !
Paroisse